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La violence conjugale peut être aussi psychologique

Quand on parle de violence conjugale, on a tendance à penser aux coups et aux blessures, aux femmes battues. Pourtant, la violence conjugale se passe parfois de points de suture. Maintenant on ose parler de violence conjugale psychologique, et elle est tout aussi dangereuse.

Qu’est-ce que la violence conjugale psychologique ?

La violence conjugale psychologique est tout aussi dangereuse La violence conjugale psychologique c’est quand les réflexions de votre conjoint sur votre aspect physique, vos qualités professionnelles, maternelles ou amoureuses, deviennent des armes pour vous humilier et vous faire perdre confiance en vous. Cette forme particulière de violence conjugale est destinée, en réalité, à vous manipuler, à vous contrôler afin d’avoir une emprise sur vous.
Bien que moins apparente que la violence physique, elle est aussi néfaste et destructrice. La violence conjugale psychologique parce qu’elle est souvent uniquement verbale, on parle alors de violence conjugale verbale – voire même, silencieuse, dans des comportements de bouderie par exemple – est d’autant plus dangereuse qu’elle passe, la plupart du temps, inaperçue.

Quand est-on victime de violence conjugale psychologique ?

Comme nous le disions précedemment, la plupart du temps, il s’agit d’une violence conjugale verbale.
Tout est, à peu de choses près, dans la formulation des reproches que vous adresse régulièrement votre conjoint.
Pour vous donner un exemple gentillet : il y a une différence entre dire « je ne te comprends pas, j’ai parfois l’impression que tu ne m’aimes pas » et dire « tu es méchante avec moi, tu me persécutes ».
Dans le premier cas, il s’agit d’un simple « rappel » de votre conjoint qui exprime ainsi sa demande d’affection à votre égard, et qui, dans tous les cas, ouvre le dialogue. Dans le second, il ne vous demande rien mais vous attribue de mauvaises intentions qui vont devenir, au fil du temps un fardeau très lourd à porter.
De même, si on vous dit « ce plat manque un peu de sel c’est dommage », vous ne le prendrait pas de la même manière que « décidemment t’es vraiment bonne à rien… ». Ici, la violence conjugale verbale est clairement présente.
En un mot, vous êtes victime de violence psychologique conjugale  quand votre conjoint vous maintient dans un état de culpabilité permanent et finit par vous persuader que vous n’êtes bonne à rien…

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