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Sournoises et douloureuses, les violences psychologiques atteignent la personne dans son identité-même.

Ce que vous devez savoir sur les violences psychologiquesLes violences psychologiques ne se voient pas. C’est ce qui régale le pervers ou le harceleur, responsable de ces faits.
Pas de trace, pas de plainte. Et pourtant, lors de la consultation d’un médecin, la grande souffrance ne peut passer inaperçu.
L’expérience démontre qu’il est plus facile de guérir de bras et jambes cassés que de destructions psychologiques.

Les violences psychologiques créent le doute. La personne victime se sent coupable de ne pas satisfaire l’accusateur. Fort de son jeu, il se montre aimable en public au point que la victime se sent coupable.
Les rôles s’inversent.
A partir de ce moment là, la personne se soumet, n’a plus confiance en elle, n’a plus la force de réagir et s’accuse de tous les torts. Elle risque de sombrer rapidement et de tomber dans le gouffre sans échelle de secours.

En perte d’équilibre, sans résistance possible la victime ressasse le problème, le tourne et le retourne sans trouver d’issue.
Les violences psychologiques détruisent l’équilibre mental. Souvent, la dépression guette les personnes atteintes.

La seule solution contre les violences psychologiques est de parler : trouver une personne de confiance, un ami, quand il en reste (le harceleur accentue sa tactique en isolant celle qui subit), le médecin de famille, si c’est au travail, la médecine du travail voir les prud’hommes. Se faire aider pour oser porter plainte à la police !

Un autre problème fait jour : la crédibilité des paroles.
Toutes les oreilles policières ne sont pas habituées à l’écoute des violences psychologiques : « vous l’avez cherché » « nous n’intervenons pas dans les histoires de couple » mais la police et la gendarmerie détiennent l’adresse d’une association d’aide aux victimes dans tous les tribunaux.

Ici, l’avenir commencera à s’éclaircir, personne ne ricane sur les douleurs.
Désormais les preuves écrites par texto et courriel sont reconnues, il faut les garder comme les messages vocaux.

Commence, la longue remontée vers le ciel bleu mais plus rien ne sera comme avant.
Enfin, le côté positif est la venue de la vigilance envers les autres. Tout le monde n’est pas forcément digne de confiance.
Puisque la victime ne peut pas nier les violences psychologiques subies, elle sortira avec l’énergie du combat pour apprendre à déjouer d’autres tours.

Pensez-vous en être victime ? Avez-vous subi ces désagréments ?
Partagez avec nous votre vais, votre expérience ci-dessous…

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